L'intrigue semble avancer à l'envers. Chaque épisode remonte un peu plus loin dans le parcours de Andrew Cunana.

D'un côté c'est original, de l'autre c'est franchement dur à suivre pour quelqu'un qui n'est pas trop emballé par l'histoire. Et objectivement la série semble vachement vouloir gagner du temps. Le début de l'épisode est interminable.

J'espère qu'on attendra pas l'épisode 9 pour se remettre sur Gianni... 

Meilleur aspect de la série : la police présentée comme des bras cassés. Enfin on revient sur les spécificités de l'affaire... un peu.

En fait cette deuxième saison ne devrait pas s'appeler "The Assasination of Gianni Versace", mais "Andrew Cunanan : Portrait of a serial killer"

Car c'est le deuxième épisode d'affilé où le styliste italien est totalement absent et qu'on a le droit à un focus sur un meurtre passé du tueur en série.

Et même si cela est suffisamment emballé pour ne pas (trop) s'ennuyer, on peut tout de même proclamer qu'il y a tromperie sur la marchandise (et que la série gagne un peu honteusement du temps à cause d'un sujet initial un peu maigre).